16.7.08

Acte 1




3 commentaires:

Anonyme a dit…

Ruth et Samsonoff frappent Paris d'un sceau de poésie. Voilà que les rues de la cité jusqu'ici simples méandres des vilains se transforment en un théâtre ouvert où chacun peut respirer au grès de ses pérégrinations ou lors de son trajet quotidien entre la maison et le bureau, un petit air frais, sincère et enthousiasmant, et s'amuser de ces contes de bizarreries et d'émotions douces qui contrebalancent les pics de pollutions tout azimut de la ville lumière jusqu'ici peu éclairée. A leur manière, ils renouent avec la traditions des saltimbanques disparus. Merci pour la ballade, j'attends la suite avec impatience.

michael a dit…
Ce commentaire a été supprimé par l'auteur.
michael a dit…

La poésie des saisons dans la ville...(Ah ! J'ai envie de relire Marcovaldo, un de mes livres préférés...)Premier contact avec ce personnage naïf et décalé tout à fait rafraîchissant...On attend la suite pour très bientôt, espérons...

 
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